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La mort peut danser

(Ne sont affichés ici que des extraits. Pour lire la critique complète, cliquez sur le lien.)

 

Basé sur l’histoire du groupe Dead Can Dance, mêlé aux légendes celtiques et à l’histoire de la chrétienté en Europe, ce roman renouvelle magnifiquement l’un des thèmes les plus rabachés de la littérature fantastique, en lui donnant une fraîcheur et une intelligence folles !

Ma p’tite librairie, 10 décembre 2016

 

Entre les traditions et les paysages irlandais, et le groupe Dead Can Dance, Jean-Marc Ligny ne pouvait que nous proposer une histoire où musique et mysticisme ne font qu’un. J’ai été emportée dans l’ancienne Eire assiégée et en ressors avec la farouche envie d’y retourner encore bien des fois, avec du Dead Can Dance dans les oreilles bien sûr !

Maureen Denizon, Bazar de la littérature, 7 juin 2015

 

Le mélange entre les mythes, le fantastique et la réalité romancée est parfaitement équilibré. C’est un roman très bien écrit, vaporeux, comme un rêve un peu agité entre deux sommeils. Cette étrangeté, dans le bon sens du terme, m’a marquée, et je me souviens encore avec affection de ce petit roman et de la magie trouble qu’il dégage (…) Les amateurs de fantastique, de druidisme, les gens qui aiment la musique de Dead Can Dance, les rêveurs invétérés apprécieront la magie de l’écriture comme celle du récit.

Siana, Vampires & sorcières, mai 2014

 

Décevant, La Mort peut danser aurait pu se distinguer mais rate le coche dans son unité.

Élodie, ActuSF, non daté (2014)

 

Nous, lecteurs, sommes hypnotisés par l'ambiance celtique qui ressort de l'Irlande médiévale ou contemporaine. Le livre se lit vite (…). Une fois terminé, il résonne pourtant encore en vous. Pour ma part, ce livre est un véritable coup de cœur.

Poppy’s on a Zeppelin, 19 mars 2013

 

Certains livres inspirent des émotions fortes, marquent votre imagination et bousculent vos sens. La mort peut danser fait partie de ceux-là. Lire ce roman, c'est entendre le chant irréel d'Alyz-Forgaill, c'est se promener sur les côtes d'Irlande, contempler l'océan et ses vagues qui se fracassent sur les falaises, c'est une multitude de sensations qui vous emportent dès les premières pages et vous laissent à la fin pris de vertige, sonné.

Benoît Lucazeau, nooSFere, décembre 1999

 

Ce livre rend hommage au groupe Dead Can Dance et je ne sais pas si c’est à cause de la résonnance de leur musique à chaque chapitre mais j’ai adoré ce livre. (…) Un mélange agréable de mythologie celte, de musique irlandaise et du thème de la possession.

Naemia, Critiques libres, 19 janvier 2008

 

Jean-Marc Ligny, dont on connaît les préoccupations musicales, profite de l'occasion pour brosser une description peu amène du milieu du show-biz et signe un grand roman populaire nimbé de mystère, ouvert sur un autre monde, fascinant et tragique, à l'instar des oraisons funèbres de Dead Can Dance.

Sébastien Cixous, Nouvelle Vague, mars 2000

 

Ce roman possède deux incontestables points forts : une ambiance fort réussie, faite d'un savant mélange de magie et de mystère, et une documentation rigoureuse, un tantinet envahissante mais ô combien passionnante.

Roland Wagner, Casus Belli, avril-mai 1994

 

Voyage unique au pays du chant et du mysticisme druidique, hommage à la femme et à son rôle de séduisante ensorceleuse, La Mort Peut Danser devient le complément indispensable des albums du désormais mythique Dead Can Dance.

La Revue du Chat Noir, avril 1994

 

Superbe ! J'ose à peine imaginer le boulot de recherche qu'a dû représenter ce livre. Les scènes du 12e siècle sont remarquables par les détails des descriptions, des atmosphères, par les mots gaëliques qui parsèment le récit. Le contraste, aussi, entre les deux époques, est fascinant.

Christian Martin, Temps Tôt (Québec), avril 1994

 

Jean-Marc Ligny joue à la perfection d'un constant va-et-vient entre l'Irlande contemporaine et l'Irlande médiévale. (...) Ce roman exalte superbement la mémoire d'un pays meurtri.

Joëlle Wintrebert, À Suivre, avril 1994

 

Ligny est parfaitement convaincant grâce à la connaissance qu'il a des légendes celtiques et de l'histoire irlandaise.

Viviane Niaux, Écouter Voir, avril 1994

 

(Ligny) propose aujourd'hui une curieuse histoire de possession, qui allie son amour pour la musique à son goût pour les mythologies étrangères, ici la mythologie celte. Une curieuse synergie prend corps entre deux époques sur le même espace : celle de l'invasion anglo-normande en Irlande et celle de l'actualité.

Roger Bozzetto, Solaris, printemps 1994

 

C'est là toute la force de ce livre que d'être aussi pertinent dans la description d'une civilisation disparue, les Celtes, que dans l'évocation du monde du rock.

C. Cropsky, L'Indic, mars 1994

 

Jean-Marc Ligny fait revivre les vieilles légendes celtiques, et conte une très belle et très poétique histoire de possession.

La Recherche, mars 1994

 

Un chef-d'oeuvre envoûtant, émouvant, qui rénove admirablement le thème fantastique de la possession.

La Croix, 14 février 1994

 

Un livre à dévorer en se plongeant dans l'univers musical médiéval de ce surprenant groupe irlandais.

Équinoxe, février 1994

 

Jonglant avec les époques, l'auteur marie avec bonheur légendes celtiques et show-biz.

Denis Guiot, Phosphore, février 1994

 

Jetez-vous sur cette fabuleuse allégorie mêlant culture celtique et atmosphère new-age.

Rage, janvier 1994

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