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Ce roman est inégal. La première partie, très sombre, mais prenante et intéressante, montre précisément l’extrême malaise de l’adolescente, aux prises avec ses démons invisibles, incapable de communiquer avec les adultes. (…) La seconde partie est moins réussie, qui raconte la renaissance d’Elodie, sa rencontre et sa romance avec Orfan, sa passion pour le chant. (…) Les jeunes lecteurs et lectrices apprécieront néanmoins ce roman car JM Ligny capte l’attention très rapidement et embarque ses lecteurs dans une histoire aux multiples péripéties.

Catherine Gentile, Ricochet-Jeunes, non daté

 

L'horreur côtoie la guimauve et c'est sans doute cette partie pleine d'amour avec un réel message d'espoir qui ne convaincra pas assez les « adultes ». Le départ est tellement prometteur que nous avons l'impression d'autant plus vive que l'intrigue s'essouffle très vite. La fin onirique peut laisser perplexe mais elle a l'avantage de ne se pas se laisser deviner facilement.

AcrO, Livrement, 5 octobre 2011

 

Des personnages un peu caricaturaux, bien sûr, mais de quoi faire une histoire charmante justement destinée à cet âge et avec un style extrêmement fluide, très agréable à lire.

Hélène Marchetto, Les Vagabonds du rêve, 12 juillet 2011

 

Jouant sur une tension entre psychiatrie et fantastique, il évite les clichés fréquents dans les récits de fantômes. Au fil de ce livre à l’écriture fluide, le lecteur adolescent (…) s’attache à une héroïne émouvante et peut laisser courir son imagination après un dénouement surprenant.

Marie-Françoise Brihaye, Lectures jeunesse, mars 2011

 

À mon avis, Jean-Marc Ligny a parfaitement réussi le début de son roman. On s’attache à Elodie, on tourne les pages avec l’envie très forte de voir ce qui va lui arriver et de comprendre d’où lui vient cette faculté qui la lie aux morts. (…) Je trouve regrettable qu’une grosse partie du roman délaisse la dimension fantastique de l’histoire, jusqu’à s’aventurer vers un dénouement assez médiocre.

Calypso, Aperto libro, 27 décembre 2010

 

Voici donc un roman jeunesse classique avec tous les éléments pour plaire: une héroïne torturée qui a un pouvoir que les autres n'ont pas, en rupture avec la société et ses proches... L'adolescente par excellence en prise avec des questions existentielles. Le fantastique, l'aventure et bien sur l'amour seront au rendez-vous, ce qui plaira sans nul doute à nos ados.

Mariondoc, À lire et à manger ?, 22 décembre 2010

 

Je ressors de cette lecture, finalement assez mitigée. (…) J’ai apprécié la plume très « percutante » de Jean-Marc Ligny et ce côté très « sombre », presque « glauque » de la première moitié du texte. (…) L’idée de base et le début, très fantastiques, avaient tout pour me plaire et semblaient prometteurs ; mais la direction que prennent les évènements et le dénouement m’ont déçue. Je suis déçue que le côté fantastique soit laissé en plan au profit de « l’Amour »…

Maureen Denizon, Bazar de la littérature, 11 décembre 2010

 

(Jean-Marc Ligny) réussit aisément à nous faire entrer dans son univers et ses personnages prennent vite du relief. (…) Au final, c’est un roman qui ne m’a pas déçue, et qui est à la hauteur de sa superbe couverture. Je le conseille à toutes les tranches d’ages aimant le Fantastique. Bien que le personnage principal soit une fille, je pense ce livre susceptible de plaire aux garçons aussi.

Serafina, If is dead, 1er novembre 2010

 

Mal-Morts est un roman qui se dévore, Jean-Marc Ligny entraîne avec aisance grâce à son écriture fluide. Le style est foncièrement naïf, collant au domaine très jeunesse de l’œuvre. Ce ton gentillet pourra laisser certains lecteurs de côté mais saura attendrir les autres (…). Les rebondissements s’enchaînent de façon logique, rigoureuse et rythmée à la fois, jusqu’à une fin qui pourra laisser perplexe (…) Pour ceux qui arriveront à se laisser entraîner, nul doute que le plaisir sera au rendez-vous, car Jean-Marc Ligny sait décidément capter son public.

Lelf, Imaginelf, 20 octobre 2010

 

Divisé en chapitres cours, Mal-Morts multiplie les points de vues, (…) des scènes aux atmosphères très différentes se succèdent avec brio. (…) Et c'est enrobé dans un superbe roman fantastique, captivant et superbement conté par Jean-Marc Ligny qui ne prend pas les jeunes lecteurs pour des créatures innocentes et leur parle de choses parfois dures.

Stegg, Psychovision, 9 septembre 2010

 

Vidéo

Chronique vidéo de deux jeunes lectrices de 14 ans.